Voici un aperçu de ma collection de timbres.

Depuis que j’ai 10 ans, je les récupère sur des enveloppes ou des colis, les décolle, les trie et les admire… Mais mon intérêt s’est un peu émoussé. Non pour l’objet en lui-même que j’aime toujours autant (envoyer ou recevoir une lettre avec un beau timbre c’est tellement agréable). A mes yeux, le timbre est le sourire du courrier.

Je me suis lassée de cette collection, je ne l’enrichis plus vraiment, m’en suis détournée. Je ne passe plus des heures à chercher la bonne place dans les albums, changer de mode de classement, me réjouir des séries qui se complètent. C’est sans doute un peu triste car cela a fait mon bonheur pendant de longues années mais d’autres intérêts l’on remplacée.

Alors, si vous collectionnez les timbres ou si un de vos enfants, un enfant de votre entourage s’y intéresse, faites-moi savoir quel(s) thème(s) ou quel(s) pays vous préférez et je me ferai une joie de distribuer ainsi petit à petit ces belles images crantées.

Bonjour !

Aujourd'hui je voulais vous montrer le petit meuble dans lequel je range mes échevettes. Il m'a été confectionné sur mesure par des mains attentionnées. Je peux y ranger trois nuances ou coloris par tiroir (rouge, orange, violet ; jaune, rose, rose foncé ; bleu clair, bleu, brun ; vert clair, vert franc, vert mousse ; blanc, gris, noir ; fils nuancés). Le gros tiroir du bas est dédié aux fils spéciaux.

J'ai vu sur d'autres blogs de belles boîtes pour ranger des cartonnettes mais pour l'instant ma collection de fils est trop hétéroclite et pas assez diversifiée dans les couleurs pour nécessiter un tel attirail.

J’aime la littérature jeunesse en général et je lis notamment beaucoup de romans pour adolescents (à l’Ecole des Loisirs, chez Thierry Magnier ou Syros ; il y a tant de production de qualité de nos jours…). Mais les albums « pour enfants » ont une place particulière dans mon cœur.

Bien avant les premiers romans fondateurs qui peuvent nous marquer lorsque nous sommes enfants, je suis persuadée que ce sont les albums qui nous ont accompagnés petits qui fondent notre monde, notre imaginaire et une partie de notre personnalité.

A la différence de la plupart des gens je pense, j’ai continué à m’acheter et me faire offrir ces livres des merveilles dont les histoires, les graphismes et les personnages aident à grandir.

Parmi mes auteurs préférés, je citerai Claude Ponti et Anthony Browne dont je présenterai sans doute quelques ouvrages dans la catégorie « Lectures ».

Eluard, «Et un sourire», Le Phénix (1951)

La nuit n’est jamais complète

Il y a toujours puisque je le dis

Puisque je l’affirme

Au bout du chagrin une fenêtre ouverte

Une fenêtre éclairée

Il y a toujours un rêve qui veille

Désir à combler faim à satisfaire

Un coeur généreux

Une main tendue une main ouverte

Des yeux attentifs

Voici un petit coussin décoratif réalisé à partir d'un free d'Elizabeth Designs.

Il va partir chez Emma pour l'association Naevi.

“Mais tout le mal vient précisément de là ! Il est dans les mots. Nous avons tous un monde en nous, et pour chacun c’est un monde différent. Comment pourrions-nous nous entendre, monsieur, si les mots que je prononce ont un sens et une valeur en rapport avec l’univers qui est en moi, tandis que celui qui m’écoute leur donne inévitablement un sens et une valeur en rapport avec l’univers qu’il porte en lui? On croit se comprendre, on ne se comprend jamais!” (p26)

Pirandello "Six personnages en quête d'auteur"

Voici un petit coussin décoratif réalisé à partir d'un free d'Elizabeth Designs.

Il va partir chez Emma pour l'association Naevi.

J’utilise tout bêtement un petit pot en plastique qui a contenu de la crème de yaourt. J’en aime le ventre bombé… et la chatte adore me le voler pour jouer avec !

Les fils colorés seront recyclés en incrustation dans un papier fait maison. Rien ne se perd !!!

Maintenant que le colis est arrivé à destination, je peux vous montrer ce que j’ai envoyé pour la naissance d’Eléa, le bébé Myosotis.

J’ai brodé cette grille gratuite d'un site allemand sur une toile Aïda de lin DMC et je l’ai montée en petit sac doublé de tissu bleu. J’y ai glissé un petit doudou tout jaune qui fait du bruit…

Dans la famille Briard, je demande… Jenny (Brigitte Smadja)

« Elle préférait à ces cadeaux des choses sans aucune valeur marchande : des feuilles d’arbre, comme celles du ginkgo biloba aux formes si belles enfermées dans des pages de livres, des scarabées noir-bleu, noir-vert, noir-violet, qu’elle disposait dans des casiers trouvés lors de la fermeture d’une bijouterie, ou encore des bouts de tissu, des dentelles, des collections de papiers rares, des galets polis par la mer, des fragments d’affiches décollées, une broderie indienne donnée par une amie de sa mère. Plus les choses étaient usées, destinées au rebut, plus elle s’y attachait. » p. 12