• Je vous propose une petite énigme en image :

    Photo-mystère...

    A votre avis, de quoi s'agit-il ?

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  • J'avais lu il y a pas mal de temps « No pasaran, le jeu » qui m'avait beaucoup marquée et que j'avais fortement recommandé et offert à l'occasion.

     

    L'auteur imaginait trois adolescents qui, lors d'un voyage scolaire avec le collège à Londres, trouvaient dans une petite boutique un jeu vidéo très spécial. Il leur avait été recommandé par le vieil homme responsable du lieu qui avait vu la croix gammée qu'arborait l'un des trois adolescents, le fameux Andreas. Eric, Thierry et Andreas s'étaient trouvés happés par un jeu de guerre plus vrai que nature les plongeant dans la réalité historique et les conséquences de la violence et des armes à feu.

    Andreas, le retour de Christian Lehmann

     

    Au début de ce second volume, Andreas a disparu depuis 4 ans et les deux autres garçons ont pris leurs distances avec les jeux vidéos, marqués par cette expérience ultime (le jeu s'appelle Jeu Ultime). Mais en apercevant l'ordinateur dans la chambre de leur camarade dans un reportage parlant de l'influence néfaste des jeux vidéos sur les adolescents, Eric et Thierry suspectent Andreas d'être retourné dans le jeu (alors qu'il y était mort et donc en théorie incapable de s'y reconnecter) et d'y être enfermé...

     

    Le roman alterne plusieurs points de vue qui se mêlent étroitement avec intelligence. Celui d'Eric qui, traumatisé par l'expérience ultime, a abandonné totalement les jeux vidéos. Celui de Thierry qui cherche à convaincre son ami de se reconnecter pour aller rechercher Andreas et le ramener à la réalité. Celui de Gilles, le grand frère d'Eric, photo-reporter actuellement en Irak. Il y a aussi la famille de Khaled, un copain d'Eric et Thierry, fan de jeux vidéos, dont le père, commissaire de police a géré le dossier de la disparition d'Andreas et dont le cousin, Samir, joue aussi un rôle.

     

    Cette fois-ci des conflits armés contemporains sont donc mêlés aux guerres du jeu.

     

    J'attends avec impatience de lire le troisième tome pour voir où tout cela va nous mener...

     

    Mais c'est un livre qu'on a du mal à lâcher et qui a très bien géré dans l'évolution de l'histoire, l'évolution des technologies. Le traitement de l'actualité et le miroir de la société qu'il nous renvoie tient compte aussi bien des extrémismes fascisants représentés par Andreas et son père (mais également dans une version plus modérée les parents de Thierry) que ceux représentés par le cousin de Khaled fasciné par le conflit irakien.

     

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  • J'ai brodé le défi n°3 proposé par Foll'aiguille cette année :

    Deux cartes brodées

    Sur un des papiers cartonnés offert par mon amie Sylvie.

    Deux cartes brodées

    J'en ai fait une carte d'anniversaire relativement simple.

    Deux cartes brodées

    J'avais aussi brodé il y a quelques temps ce petit garçon sur son gros ballon coloré (vous avez sans doute reconnu le style de Perrette Samouilhof).

    Deux cartes brodées

    Et j'ai finalement choisi d'en faire une carte en utilisant un passe-partout bleu.

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  • "Désormais, Harold ne pouvait plus croiser un inconnu sans reconnaître que tous étaient pareils et que chacun était unique ; et que c'était cela le dilemme de la condition humaine." (p.208)


    (La lettre qui allait changer le destin d'Harold Fry arriva le mardi... de Rachel Joyce)

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  • Jeu de mots un peu facile pour vous présenter une nouvelle série de Zétégamis :

    J'en suis baba !

    Le rendu du flash est un peu violent... avec aussi une carte pour fêter les Véronique.

    J'en suis baba !

    Les deux matriochkas fantaisie.

    J'en suis baba !

    La première avec d'autres cartes inspirées par d'autres sujets.

    J'en suis baba !

    Je termine en vous montrant les deux marque-pages qui m'ont été inspirés par une partie du défi n°4 chez Foll'aiguille et que j'ai envoyés chez les deux Véronique^^

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  •  

    Reborn de Thierry Robberecht

    Ce roman de science-fiction, anticipation, imagine qu'avec la montée des eaux consécutive au réchauffement climatique une partie de la population de la Terre a été obligée de trouver un nouveau lieu pour vivre. Une planète au sol noir et à l'air respirable, rebaptisée Reborn, a ainsi été colonisée et les premiers colons y ont construit des usines et des immeubles. Mais après quelques vagues d'immigration, composées principalement des personnes terriennes les plus riches, le gouvernement de Reborn a commencé à freiner l'arrivée de nouveaux migrants en prétextant le manque de place pour accueillir tout le monde. Cela a généré la présence de personnes venues clandestinement qu'on appelle les invasifs.

     

    Le héros de cette histoire, Chuong, est un invasif, arrivé sur Reborn avec ses parents qui ont été capturés et renvoyés sur Terre. On découvre sa lutte pour survivre, se cachant des intercepteurs, machines capables de détecter les humains ne portant pas la puce d'identification légale. Il dort dans un squat et a beaucoup de mal à garder une apparence propre.

     

    Un jour, sa route croise celle d'Angèle, une vieille femme qui vit sur Reborn depuis le début et se prend d'amitié pour lui, entre autres parce qu'ils ont des origines culturelles communes.

     

    Au début du récit, alors que Chuong allait rendre visite à son amie, il découvre qu'elle a été agressée et battue, laissée pour morte. Il décide de prévenir les secours même si cela entraîne son arrestation...

     

    J'ai trouvé ce roman intéressant pour sa façon d'aborder les questions de l'immigration.

     

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  • « J'explore le monde des histoires comme d'autres explorent la Terre, pour y découvrir les beautés cachées. J'essaye d'emprunter de nouveaux chemins. Dans de monde-là, il y en aura toujours de nouveaux à tracer et c'est enthousiasmant... » (p.128)


    (L'année Rase-Bitume de Philippe Barbeau)

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  • J'avais la finition d'un cabas crocheté en sacs plastiques en attente...

    Un sac plastique au crochet

    J'avoue que l'étape des anses est la plus pénible pour moi. Non seulement à crocheter ces longues bandes mais aussi à les fixer !

    Un sac plastique au crochet

    Il me restait encore une étape pour une innovation...

    Un sac plastique au crochet

    Mais voilà ce que j'ai trouvé en revenant à ma table de travail !

    Un sac plastique au crochet

    Une Miss Mousse très investie dans son inspection.

    Un sac plastique au crochet

    Elle a testé le confort avant d'investir la place.

    Un sac plastique au crochet

    J'ai dû la chasser pour fixer la doublure en tissu (voilà mon innovation). Mais ses moustaches ne sont pas loin ;-)

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  •  

    Je n'avais jamais lu ce roman qui est un classique publié en édition jeunesse et ça a été un choc !

     

    Il ne me tentait pas trop parce que je savais que ça parlait de la violence et la cruauté qui peuvent apparaître dans une communauté d'enfants livrés à eux-mêmes. Et de fait cela s'installe de façon implacable, on le sent venir et ça fait peur !

     

    J'ai été étonnée par le début, l'entrée dans le récit en dehors de tout contexte historique, qui donne sa force au roman je pense et son intemporalité.

    Sa majesté des mouches de William Golding

     

    De jeunes garçons, adolescents pour certains mais encore petits enfants pour d'autres, se trouvent rescapés d'une catastrophe aérienne (mais il n'est nulle part question des restes de carlingue ou autre sur l'île?) sur une île déserte. Dans un premier temps, les plus âgés décident d'organiser leur survie avec une volonté de hiérarchie, l'élection d'un chef, la répartition des tâches entre la construction de cabanes, l'entretien d'un feu et la chasse pour se nourrir. Mais très rapidement apparaissent des conflits d'autorité et de pouvoir entre Ralph, le chef élu, raisonnable et obnubilé par la fumée qui signalera leur présence au bateau capable de les sauver, et Jack, dont les instincts de chasseur et le caractère plus impulsif vont entraîner des dérives incontrôlables. Il y a aussi Piggy (dont il me semble on ne connaît pas le vrai prénom alors qu'il déteste ce surnom), myope, asthmatique mais intelligent et réfléchi qui se soucie de l'avenir de cette petite société et en voit venir les dérives.

     

    Même si certaines scènes m'ont fait froid dans le dos, j'ai apprécié cette lecture et la façon dont l'auteur a imaginé cette situation et son évolution.

     

    C'est en tout cas un texte qui est très contemporain et peut se lire comme tel alors qu'il a été écrit dans les années 50. Je comprends que cela soit un classique même si je me demande ce que des enfants y « lisent ».

     

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  • Je continue de broder ce texte proposé par Caro de Croisez les fils :

    Les règles de la maison

    Trois phrases de plus.

    Les règles de la maison

    Une vue d'ensemble qui s'allonge.

    Les règles de la maison

    Et j'en profite pour vous montrer la nouvelle pendule de la maison...

    Les règles de la maison

    Avec un dragon !

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