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Pour le plaisir de découvrir un nouveau blog et s'essayer à la devinette :
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Pour son anniversaire, Adèle, plutôt du genre garçon manqué, se voit offrir par sa tante... un maquillage et le nécessaire pour se pomponner à l'identique. Elle ne s'imaginait pas les conséquences qu'un tel changement allait provoquer dans sa vie ! Une alliance avec son meilleur ami, une photo prise par hasard, un jeu « pour faire semblant » : la voilà embarquée dans une drôle d'histoire avec Frédéric, son ami d'enfance aussi mal intégré qu'elle au collège.
J'ai bien aimé ce roman léger qui aborde mine de rien un des aspects principaux de l'adolescence : le paraître est très important pour se faire accepter et reconnaître.
Les deux personnages principaux sont très sympathiques et attachants et ce qui leur arrive raconté de manière humoristique et tendre.
Bref, une excellente lecture que je conseille, à partir de 13 ans.
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Ce sont les couleurs de ces adorables chatons qui viennent de trouver une famille d'adoption grâce à l'action efficace de l'association des Félins Baroudeurs Indépendants.
Cela faisait longtemps que je n'en avais pas parlé mais de nouveaux très beaux objets à vendre sont arrivés dansla boutique. C'est un des biais par lesquels vous pouvez aider cette association.
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« Je te cherchais déjà
Quand J'avais dix ans , que tu en avais treize,
j'aurais bien voulu te connaître un peu.
On aurait couru les jambes à l'aise,
on aurait joué presque avec le feu.
Et dans les fourrés, dans les terrains vagues,
on aurait joué ensemble aux Indiens,
à la fausse guerre où le cœur divague,
à la vraie maraude où l'on ne craint rien.
Qu'il y avait, loin de ma bande à la tienne!
Mais, pour autant qu'il m'en souvienne ,
au milieu de ces gamins
je te cherchais déjà [2x].
Quand j'avais dix ans, que j'étais sauvage,
j'aurais bien voulu être ton copain.
Va! je courais vite et j'avais pas 1'âge
de tenir mes jupes et de parler bien.
Je n'hésitais pas à jeter des pierres
ou à m'embusquer dans le grand mûrier.
Quand on se battait, j'étais l'infirmière,
quand on naviguait, j'étais le gabier.
Qu'il y avait loin de ma barque à la tienne!
Mais, pour autant qu'il m'en souvienne,
au milieu de ces gamins
je te cherchais déjà [2x].
Quand j'avais dix ans, tu n'aurais pas eu honte
d'être mon ami: je ne pleurais pas,
je ne tenais pas encore le compte
des petits chagrins, j'aimais les combats.
Et si je devins ensuite peureuse,
c'est qu'on me l'apprit avec le latin.
Dès lors je sortis de l'époque heureuse
où l'on s'égratigne aux mêmes chemins.
Qu'il y avait loin de ma branche à la tienne!
Mais, pour autant qu'il m'en souvienne,
au milieu de ces gamins
je te cherchais déjà. [2x]
Quand j'avais seize ans, que tu étais un homme,
j'aurais pas voulu te connaître, va.
J'aurais pas voulu que tu saches comme,
comme j'étais bête à cet âge-là.
Si tu étais bien comme je t'imagine,
tu m'aurais fait mal, tu aurais fait peur.
Il valait bien mieux sur d'autres gamines
t'exercer les dents à défaut du cœur.
Il a fallu qu'enfin on se rencontre.
Trois fois dix ans, tu fais le compte,
faut qu'on s'aime trois fois plus,.
Je ne regrette pas, je ne regrette pas
de t'avoir si longtemps cherché déjà. »
Anne Sylvestre
Pour retrouver les textes d'autres chansons d'Anne Sylvestre
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Comme je n'ai pas terminé de déballer mes cadeaux de Noël avec vous, aujourd'hui c'est le tour de ceux que ma chère Flo m'a envoyés...
Tout très soigneusement emballé (j'adore la petite couronne en paille avec son ruban rouge).
Flo m'a brodé un joli coussinet décoratif aux couleurs de Noël. Elle y a joint une bougie en forme de coeur, une carte avec des bonhommes de neige et du thé de Noël bio dans une superbe boîte métallique.
Et parce qu'elle connaît bien mes passions : un kit pour broder la naissance enchantée d'un dragon et un beau livre sur les chats avec des citations et des reproductions d'oeuvres d'art.
Merci pour toutes ces attentions si personnelles !!!
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"N'élevons pas nos enfants pour le monde d'aujourd'hui. Ce monde n'existera plus lorsqu'ils seront grands. Et rien ne nous permet de savoir quel monde sera le leur : alors, apprenons-leur à s'adapter."
(Maria Montessori)
P.S. : "devise" du blog L'écol'logis découvert grâce à Madame Plouf
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Difficile de résumé cette bande dessinée sans paroles empruntée à la médiathèque...
Les personnages, animaux humanisés, m'ont fait penser aux aventures de Lapinot de Lewis Trondheim.
Un personnage principal apparaît sur toutes les planches qui sont entrecoupées de photos d'identité de ce même personnage de bébé à vieillard.
Les planches abordent différents thèmes de la vie de couple, la séduction, l'identité.
J'ai trouvé que les gags qui sont plutôt une observation du risible de certains comportements humains faisaient mouche épinglant avec tendresse ces travers. J'admire l'habileté du dessinateur d'arriver à faire tant avec si peu de moyens : quelques cases et pas une parole.
Une lecture inhabituelle qui m'a beaucoup plu. Je précise que ce livre s'adresse à un public adulte.
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Cet été, j'avais commencé à broder l'ouvrage mystère proposé par Anne-Marie / Brodstitch mais je ne vous l'avais pas montré finitionné car c'était pour un cadeau...
Voici donc la dernière étape avec le motif de la pointe.
Une vue d'ensemble sur l'ouvrage.
Je l'ai cousu en bannière à suspendre que j'ai offerte à ma chère Flo qui m'avait offert ce fil Amitié d'Un fil un rêve.
Pas facile à prendre en photo en une seule fois !
Merci à Anne-Marie pour cette aventure si agréable à broder.
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