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J'avais envie de découvrir une autre facette de cet auteur dont je ne connaissais que la série autobiographique « L'ascension du Haut-Mal ».
Ce livre publié aux éditions Futuropolis, est un recueil de trois histoires d'ordre mythique ou légendaire.
Dans « Le prophète voilé », il est question de la guerre, du pouvoir et de la quête de vérité.
Dans « Le jardin armé » il y a une quête du Paradis et dans « Le tambour amoureux », un puissant guerrier réincarné en tambour va continuer à influencer les foules par-delà sa mort.
Les histoires ne m'ont pas passionnée, en revanche, je trouve le graphisme superbe et très riche et cette nouvelle lecture confirme pour moi la similitude avec le trait de Marjane Satrapi dans Persepolis.
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"Il y a dans chacune de nos bibliothèques quelques livres qui ne nous intéressent plus mais que nous n'arrivons pas à donner. Entre leurs pages, reste un peu de notre jeunesse, comme les fleurs séchées d'un jour d'été à moitié oublié."
(Marion Garretty, Livres...compagnons doux, forts et constants)
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J'ai continué à mon rythme à former ce sapin de lettres :
Malina nous avait suggéré de broder la fin des majuscules et les minuscules de a à e.
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J'ai emprunté ce roman pour ados à la médiathèque. C'est une collection « Zone J » des éditions Mijade que je ne connaissais pas.
Au début du récit, cela fait 5 semaines que le héros, un adolescent de 16 ans, s'est enfermé dans sa chambre et refuse d'en sortir malgré toutes les tentatives de sa mère avec laquelle il vit seul en région parisienne.
Les chapitres alternent alors entre retour en arrière pour découvrir ce qui a poussé ce garçon à cette décision et situation actuelle où il explique son quotidien entre télé, jeux vidéos, sieste et plateaux repas que sa mère dépose devant la porte et qu'il ne récupère qu'un fois qu'elle est partie.
Ce qui va modifier cette routine c'est le nouveau job de sa mère qui ramène à la maison une petite Emma de 14 mois qu'elle garde dans la journée et raccompagne chez ses parents dans un quartier voisin le soir.
Les relations entre l'adolescent et le bébé sont très bien montrées, tendres et ce sont mes passages préférés. Pour le reste ce sont les thèmes liés à l'adolescence, la quête d'identité, les familles monoparentales, l'amitié et les groupes de collégiens...
Un roman qui se lit bien (à partir de 13 ans) sur un sujet particulièrement sensible au Japon où il semblerait que cet enfermement volontaire concerne environ un jeune sur 10 !!!
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Il s'agissait de motifs imprimés sur l'intérieur de certaines enveloppes... Bravo à tous ceux qui avaient trouvé !!!
Que j'avais soigneusement conservés en vue d'un bricolage.
Sur la même idée que pour la boîte en superposition de bleus.
Des morceaux déchirés et collés avec quelques tampons pour personnaliser le couvercle.
Je la cogitais depuis plusieurs semaines cette boîte et elle a enfin vu le jour !!! Pour revoir des boîtes plus anciennes : clic clic.
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Je l'avais aperçu à la médiathèque mais après l'avoir rapidement feuilleté, il ne me tentait pas trop... Mais comme il est bien placé dans le Top BD des blogueurs, je me suis dit que je passais sans doute à côté d'un excellent album.
Malheureusement, si j'aime les dessins de Bilal (je me rappelle des grands portraits de femmes exposés près de l'Arche de la Défense à Paris il y a plus de 10 ans), je n'arrive pas à entrer dans son univers si sombre.
L'histoire est pourtant intéressante : dans un futur où chacun doit survivre pour les maigres ressources disponibles, des créatures hybrides bénéficiant de caractéristiques animales se battent.
Leur « créateur » est un scientifique qui a pensé l'avenir de l'humanité comme une mutation ineluctable.
J'ai bien aimé les personnages des deux cavaliers jumeaux inversés même si on ne sait pas trop ce qu'ils font là.
Il y a vraiment de bonnes idées et je comprends que ce livre soit considéré comme une grande bande dessinée mais pour moi il reste trop décousu et procure un sentiment de malaise.
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Le mercredi, la boulangerie est fermée et je n'avais pas envie de prendre la voiture juste pour aller trouver du pain...
J'ai choisi cette fois-ci de reprendre une recette trouvée dans un ancien numéro d'Arkéo Junior.
Il vous faut : 750 g de farine, 30g de poudre à lever, du sel (1/2 cuillérée à café), de l'eau (la recette mentionnait 2 verres et demi soit 30 cl environs) et un peu d'huile. On peut ensuite incorporer d'autres ingrédients comme des dattes, des amandes, noix ou noisettes, des pruneaux ou des raisins secs.
On préchauffe le four à 200°C. On mélange le tout en gardant l'eau pour la fin et on enfourne pendant 40 minutes.
J'ai séparé la pâte en deux avant d'ajouter les fruits secs (pruneaux et raisins), ce qui nous donne deux pains différents.
N.B. : Le pain a tendance à sécher assez rapidement... ce n'est pas un pain à mie moelleuse comme avec d'autres recettes mais ça dépanne !
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« Ces Petits Riens
Mieux vaut ne penser à rien que de pas penser du tout
Rien c'est déjà, rien c'est déjà beaucoup
On ne se souvient de rien et puisqu'on oublie tout
Rien c'est bien mieux, rien c'est bien mieux que tout
Mieux vaut ne penser à rien que de penser à vous
ça ne vaut rien, ça ne vaut rien du tout
Mais comme si de rien n'était je pense à tous
Ces Petits Riens qui me venaient de vous
Si c'était trois fois rien, trois fois rien entre nous
Évidemment ça ne fait pas beaucoup
Ce sont Ces Petits Riens que l'on met bout à bout
Ces Petits Riens qui me venaient de vous
Mieux vaut pleurer de rien que de rire de tout
Pleurer pour un rien c'est déjà beaucoup
Mais vous, vous n'avez rien dans le cœur et j'avoue
Je vous envie, je vous en veux beaucoup
Ce sont Ces Petits Riens qui me venaient de vous
Les voulez vous, tenez que voulez-vous ?
Moi je ne veux pour rien au monde, plus rien de vous
Pour être à vous, il faut être à moitié fou. »
Angélique Kidjo
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