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L'album d'aujourd'hui est en format livre de poche publié chez Folio Benjamin mais existe peut-être dans un autre format. Je l'appelle malgré tout album car les images y ont une place aussi importante que le texte qu'elles complètent.
Sébastien est un petit garçon (raton laveur ?) plutôt sage et obéissant mais pour faire les commissions que lui confie sa maman il est obligé de passer sous l'arbre de la terrible Olivia qui lui mène la vie dure (ça m'a un peu rappelé la petite voisine de Calvin & Hobbes, Susie...). Et le pire c'est que sa mère refuse de croire qu'une si gentille petite fille soit capable de ce dont se plaint Sébastien. Jusqu'au jour où Olivia découvre qu'il est bien plus amusant de jouer ensemble que de se battre !
Un livre amusant qui revoit un peu l'image des filles et des garçons.
A découvrir à partir de 7 ans.
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J'avance à mon rythme sur ce projet que j'ai attrapé en cours de route :
Cette fois encore j'ai dû adapter un peu la grille pour ma toile aïda sur laquelle les demi-points sont trop délicats à broder... J'espère que Solo ne m'en voudra pas trop !
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Encore un classique des albums du Père Castor que j'ai moi-même adoré étant petite cette fois-ci !
Il s'agit d'un conte populaire raconté et illustré par Etienne Morel.
Monsieur et Madame Rongetout sont très fière de leur fille qui sait danser, tricoter, faire des gâteaux et jouer du piano. Ils aimeraient la marier mais seul le plus puissant personnage du monde peut mériter d'épouser la plus mignonne des petites souris...
Après avoir été proposer la main de celle-ci au Soleil, au Nuage, au Vent et à la Tour, c'est finalement un souriceau qui est considéré comme le plus puissant !
J'aime beaucoup cette façon traditionnelle de raconter par accumulation, exagération, reprise et finalement retour cyclique.
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Pour accompagner tous ces livres que je vous présente et marquer les pages où j'ai repéré des citations qui me plaisent, il me fallait bien encore quelques marque-pages...
Mon amie Marie-Françoise (oui oui, celle des albums !) m'a offert ce très joli signet :
Il ne te fait pas de l'oeil, Evelyne ?
Et Véro bis a retrouvé ce bleu auquel j'ai joint cet autre, trouvé entre les pages d'un livre de bibliothèque, oublié par un précédent (jeune) lecteur :
Il était comme toujours expédié dans une enveloppe d'art postal.
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J'espère que le nouveau rythme du blog (albums et sapins brodés !) ne vous pèse pas trop... En tout cas il me permet de vaquer à mes préparatifs de Noël sans trop dévoiler de cadeaux...
Mais je n'oublie pas la devinette en images de cette semaine :
A votre avis, que représente cette photo ?
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Et un petit sapin de plus !
J'avoue en avoir bavé un peu car les points spéciaux en étoile prévus pour ce modèle ne s'adaptent pas trop à de l'aïda... il faudra que je fasse un peu plus attention une prochaine fois.
Mais que va-t-elle faire de tous ces sapins semble se demander Mousse ?!!!
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"Frangines
Ce fut à l'école déjà
Qu'on fit de nous des concurrentes
On se regardait chien et chat
On détestait les redoublantes
Souffre-douleur ou bien fayotes
On se poussait toujours plus haut
On s'arrachait les bonnes notes
On pleurait devant le tableau
On aurait pu rester frangines
ça nous aurait gagné du temps
Au coude à coude j'imagine
Qu'il n'aurait pas fallu longtemps
Pour qu'on soit toutes aussi bonnes
Malgré les pionnes
Et les parents
Ensuite en face des garçons
Commença la grande offensive
On se fabriquait des façons
Des rendes-vous sur l'autre rive
Et grandes bringues ou bnlanche-neige
C'était à qui amènerait
Tous les boutonneux du collège
A l'accompagner sur le quai
On aurait pu rester frangines
ça nous aurait gagné du temps
Bras dessus-dessous j'imagine
Qu'on aurait de ces débutants
Avant que la vie les assomme
Pu faire des hommes
Pas des enfants
Un peu plus tard c'est la beauté
Qu'on nous érigea en barrière
On se retrouvait insultée
Si on n'était pas la première
Nos amitiés faisaient sourire
Fallait nous crêper le chignon
Et tout ce qu'on pouvait se dire
N'était que fadaises ou chiffons
On aurait pu rester frangines
ça nous aurait gagné du temps
Main sur l'épaule j'imagine
Qu'on aurait pu se regardant
Voir qu'on étaient toutes assez belles
Et même celles
Qui ont pas le temps
C'est tout pareil dans nos métiers
On nous oppose et on nous monte
En épingle pour mieux montrer
Qu'on se trouve en dehors du compte
Pour peu qu'on dépasse la tête
On est toujours une exception
Chacune sur notre planète
Ce qu'on a pu tourner en rond
Si on se retrouvait frangines
On n'aurait pas perdu son temps
Unissant nos voix j'imagine
Qu'on en dirait vingt fois autant
Et qu'on ferait changer les choses
Et je suppose
Aussi les gens
Et qu'on ferait changer les choses
Allez on ose
Il est grand temps"
Anne Sylvestre
Pour retrouver les paroles d'autres chansons d'Anne Sylvestre
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Cet album sans tetxe publié à l'Ecole des Loisirs en 1967 est désormais un classique.
L'auteur, Iela Mari, fait vivre et se transformer une bulle rouge de chewing-gum sortie de la bouche d'un enfant. Elle s'envole, devient ballon, pomme puis fleur, papillon... Une merveille de poésie et de maîtrise graphique. Une source inépuisable d'histoires à inventer avec les enfants qui vont feuilleter le livre.
Si vous ne connaissez pas, vous le trouverez sans aucun doute dans la bibliothèque la plus proche !