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Petit article anachronique mais il n'y a pas de saison pour partager ses collections...
Un envoi de Véro bis couleur d'automne avec une série de cartes de sécurité routière.
D'autres cartes colorées arrivées dans une belle enveloppe.
Des informations culturelles.
Des grands formats entre la carte et le marque-page.
Et une dernière série avec des cartes humoristiques.
C'est tout de même la couleur qui domine et j'aime ça !!!
Merci
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J'ai poursuivi avec bonheur justement la lecture de cette trilogie empruntée à la médiathèque.
Dans le deuxième volume, on découvre de nouveaux personnages en rébellion contre le système de cette société du bonheur qui laisse bien peu de place à la liberté : un enfant illégal (né hors des quotas) qui cherche à rencontrer le président, un écrivain officiel auquel on refuse les manuscrits trop pessimistes et comble de l'ironie, le ministre de la sécurité publique brutalement privé de carte unique et donc d'existence civile...
On y croise aussi quelques personnalités qu'on croit reconnaître, nouvellement employés dans un bureau par exemple.
C'est avec le tome 3 que les questions se font plus précises et que l'intrigue se dénoue, notamment par la volonté d'un commissaire (aux faux airs de Lino Ventura) dont la nièce est impliquée en tant que clandestine et dont il aimerait retrouver la trace.
J'ai trouvé cette série excellente et la conclusion du dernier volume surprenante.
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C'est aujourd'hui l'ouverture de la vente sur le blog en soutien au FBI :
Il y a de très jolies choses à acheter... pour faire des cadeaux ?
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"On maudit une épreuve, mais on ne sait pas, quand elle nous arrive, qu'elle va nous faire grandir et nous emmener ailleurs. On ne veut pas le savoir. La douleur est trop forte pour qu'on lui reconnaisse une vertu. C'est quand la douleur est passée, qu'on se retourne et qu'on considère, ébahi, le long chemin qu'elle nous a fait parcourir. "
(Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi de Katherine Pancol )
P.S. : Merci à Guylaine sur Babelio pour les belles citations qu'elle a relevées
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Toujours dans la série des décorations d'Halloween que j'ai offertes à mon amie...
Une pendouille doublée de feutrine dont j'aime beaucoup le dessin : chat noir et citrouille ainsi qu'une petite araignée. C'est une grille de Judi Utter trouvée sur le site Cyberstitchers.
Et mon chat d'Halloween à moi qui n'est pas noir et qui n'a pas de citrouille !
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J'ai lu ce roman prêté par une collègue et dont je n'avais pas spécialement entendu parler. J'avais trouvé le témoignage de cet auteur sur sa dépression courageux et intéressant mais il s'agit là de fiction, bien qu'ancrée dans une réalité, notamment médiatique, qu'il semble connaître.
Le récit dans les trois premiers quarts alterne les histoires de trois groupes de personnes qui vont finir par être liés. Il y a tout d'abord Rose, qui est véritablement l'héroïne du roman et à laquelle d'ailleurs on s'attache vite. Ayant fugué de chez elle à seize ans pour fuit un père adoptif abusif et une mère adoptive muette qui ne peut rien lui révéler de ses origines polonaises. Rose est américaine et va vivre de petits boulots au noir jusqu'à ce qu'une équipe de vendangeurs la jettent dans un fossé du haut d'un camion, la chef d'équipe étant jalouse de la beauté de la jeune fille. Aidée par un collègue qui a compris la situation, Rose va rejoindre la ville où la femme de l'ambassadeur va la remarquer et l'embaucher comme jeune fille au pair. Le début d'une nouvelle vie dans laquelle la jeune fille va commencer à s'épanouir...
En parallèle, nous découvrons le personnage de Marcus Marcus, animateur vedette d'une grande chaîne de télévision parisienne, imbu de sa personne, craint et recherché pour ses interviews sans concession.
Et le troisième personnage est une femme, Caroline, qui a travaillé dans le milieu des médias avant de changer de voie suite à une rupture brutale.
Au départ, je ne voyais pas trop ce qu'il pouvait y avoir de commun entre le destin de Rose en Amérique et celui des personnages parisiens... jusqu'à ce que son employeur devienne ambassadeur des Etats-Unis en France...
Même si j'ai bien aimé suivre certains des personnages comme Rose, Caroline et David, la gentille satire de certains milieux parisiens et les portraits brossés par l'auteur ne m'ont pas vraiment accrochée. Cela fait de ce roman une lecture agréable mais sans plus.
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Grâce à ces marque-pages envoyés par Caro, la grisaille n'a qu'à bien se tenir !
Des pigments.
Des épices.
D'autres pigments joliment présentés sur des feuilles de bananier (?).
J'adore cette série !!!!!
Des galets peints avec message... ça peut donner des idées.
Et quelques marque-pages supplémentaires pour ma collection dont des baskets sympas.