• J'ai entendu parler de ce livre à sa sortie et il me tentait alors comme je l'ai trouvé à la librairie du coin...

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    L'auteur y évoque son métier, il est professeur d'anglais en lycée, ses habitudes, ce qui a changé et ce qui ne change pas. G 229 est le code de la salle de classe dans laquelle il enseigne depuis 20 ans.

    La succession des chapitres, une idée, un souvenir en amenant un autre, une anecdote menant à une généralité, est fluide et j'ai aimé entrer dans le quotidien de cet homme.

    Néanmoins, je ne sais pas si ce genre de lecture peut « parler » à quelqu'un qui ne fréquente pas le monde enseignant ?...

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  • Cette bande dessinée présentée comme un journal autobiographique est curieuse et m'a fait penser à Woody Allen je ne sais trop si c'est par rapport à son humour grinçant ou par rapport au personnage principal très angoissé et qui se regarde vivre, s'étudie.

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    Miriam Engelberg en courts chapitres (d'une planche à quelques pages) évoque son ressenti, ses relations à ses collègues, ses amis ou sa famille depuis le moment où elle apprend qu'elle souffre d'un cancer du sein jusqu'à la chimiothérapie et les opérations et traitements qu'elle va subir.

    J'ai aimé ce livre dont, contre toute apparence, l'auteur ne s’apitoie pas sur lui-même mais essaye de tirer de son expérience des généralités sur la société face au cancer.

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  •  J'ai emprunté cette bande dessinée à la médiathèque parmi les nouveautés en rayon.

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    Il s'agit d'une histoire que je qualifierais de fantastique dans une ambiance de montagne. Une famille voit ses membres mourir étouffés la nuit dans d'étranges circonstances. Le récit débute avec la mort d'un homme jeune dont la femme n'est pas intégrée à la famille de son mari car son père est soupçonné d'être à l'origine de la mort « accidentelle » du père de celui-ci quelques années plus tôt.

    Lorsque les morts dans cette famille se succèdent à un rythme anormal, les soupçons de la police se portent sur cette jeune femme... mais ne pourrait-il s'agir d'un « nonicide » ? Une légende prétend que lorsqu'un chat saute sur le lit d'un mourant, l'âme de celui-ci revient chercher les 9 personnes qu'elle a le plus aimées.

    Une histoire bien menée qu'on imaginerait bien en nouvelle mais que je trouve très bien adaptée ici de manière graphique.

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    J'ai particulièrement aimé ce volume où Shizuku et Miyabi sont confrontés à un défi parallèle à celui des Douze Apôtres. Un amour d'enfance de Miyabi réapparaît et il va s'agir de lui faire comprendre qu'un vin excellent n'est pas forcément un vin de marque très cher, que la qualité du vin dépend plus de « La Terre, le ciel, les hommes » que de sa prestigieuse étiquette. Les jeunes héros vont avoir recours à l'aide de Pépé Robert (à la tête d'Einstein) dont j'adore le personnage et de la douce Madame du Pin.

     

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    Le volume suivant montre en parallèle à la recherche de Shizuku qui prend de l'assurance, la quête personnelle d'Issei Tomine dont le personnage gagne en sympathie.

     

    C'est décidément une excellente série. J'en ai réservé la suite à la média et j'ai hâte de la lire !!!

     

     

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  • J'avais déjà lu d'autres romans de cet auteur. Ce titre-ci a vraiment sa place dans la collection Médium de l'Ecole des Loisirs mais je ne le conseillerais pas avant 13 ou 14 ans pour en apprécier tous les enjeux.

     

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    L'intrigue se déroule dans une région de montagne, un village perché dont les habitants forment une communauté soudée autour de la scierie qui les fait vivre.

    Les enfants vont à l'école dans la vallée où ils ne se mêlent guère aux autres jeunes.

    Mais un jour, on leur présente un nouveau dans leur classe, Chems, un étranger de toute évidence, dont ils n'ont jamais entendu parler... et pourtant il repart dans leur bus le soir et semble s'être installé dans la forêt, dans une caravane, non loin du village.

    Malgré les brimades que les autres lui font subir, il reste digne et silencieux. Ce mystère intrigue Louise qui va se lier d'amitié avec lui et découvrir ses talents de pisteur.

    En parallèle de cette histoire, il y a les conditions de vie rudes dans cette contrée et suite à la fermeture de la scierie, la proposition d'un grand chantier de construction d'un barrage pour redonner une deuxième vie à ce territoire. Est-ce la seule solution ?

    J'ai pensé à plusieurs reprises à « Je mourrai pas gibier » de Guillaume Guéraud dont le contexte m'a semblé similaire...

    Un excellent roman pour ados, complexe qui aborde aussi le thème de la différence, de l'amour, de la maladie, des relations père-fille.... Un livre très fort.

     

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  • J'ai emprunté à la médiathèque deux bandes dessinées de Lucie Durbiano dont le graphisme m'a plu.

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    La première, Trésor, se passe dans les années 50 à Paris chez un professeur d'histoire à l'université et sa grande fille étudiante passionnée de mathématiques qu'il élève seul. Le dessin est sans doute plein d'allusions cinématographiques et plutôt agréable. L'histoire est moins simple et « gentille » que le premier abord pourrait le laisser croire.

    Le professeur est approché par un de ses étudiants qui cherche en fait à mettre la main sur un célèbre manuscrit qui lui permettrait de trouver un fabuleux trésor. Aidé de sa fiancée, il va chercher à séduire la naïve Christine. Il y aussi le soupirant de cette dernière très timide et le tout va donner une amusante intrigue.

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    J'ai néanmoins préféré « Orage et Désespoir », du nom des deux héroïnes (curieuse idée !!! mais j'aime ce jeu de mots), jeunes filles de notre temps en vacances sur la côte bretonne où elles retrouvent comme chaque année deux garçons de leur âge. De mystérieux événements sur la plage vont les mettre sur la piste des habitants du manoir de l'île aux mortes dont les intentions à leur égard ne semblent pas nettes.

    J'ai aimé l'opposition du caractère des deux soeurs, la légende de l'île aux mortes et les découvertes des jeunes gens à ce propos. Cette histoire de malédiction avec son aspect fantastique.

    Une intrigue très bien menée pour une lecture originale.

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  • J'ai trouvé avec joie à la médiathèque la suite des Gouttes de Dieu !

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    Dans le tome 5 Shizuku, aidé de Miyabi et Chosuke, poursuit sa recherche du Premier Apôtre sur les traces d'un tableau peint par une belle amnésique. J'ai bien aimé cet épisode pour l'histoire qui tourne autour de cette femme mais aussi les explications concernant l'importance des hommes dans la fabrication du vin.

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    Le tome suivant où la résolution du premier défi a lieu est aussi l'occasion d'évoquer le premier amour de Chosuke pour sa belle prof d'oenologie. Avec toujours l'idée qu'à chaque épisode de la vie correspond un vin et que les vins aident à surmonter les chagrins et les souvenirs douloureux par les émotions qu'ils sont capables de provoquer.

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  • Voilà le volume où tout se résout (si on peut dire parce que c'est sérieusement compliqué).

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    Raul et Enée ainsi que de nombreux disciples travaillent toujours au Temple Suspendu dans les montagnes de la région du Dalaï Lama. Une réception officielle d'émissaires de la Pax auprès de ce dernier va décider d'un nouvel exil et de la dernière ligne droite de la mission (des missions devrais-je dire) de nos héros. L'amour qu'Enée et Raul se vouent est très beau. Il y a aussi toutes les explications « prêchées » par Enée à propos du véritable rôle du cruciforme et du Technocentre et son enseignement pour s'en débarrasser et apprivoiser le Vide qui Lie.

    Un tome particulièrement riche dont la fin somme toute logique m'a néanmoins surprise.

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    J'ai trouvé l'idée de cette bande dessinée intéressante : un couple revient à la capitale après 5 ans passés à la campagne et cherchent à y retrouver leurs marques. Lui comme journaliste économique lassé des articles sur la politique agricole et elle comme assistante chez un écrivain. Leur fille encore petite, élevée à la campagne, découvre quant à elle les différences entre la grande ville et la campagne avec son regard naïf.

    Ben je n'ai pas éte plus emballée que ça et n'ai notamment pas trouvé d'intérêt à l'intrigue autour du sujet des révélations sur l'eau, occasion manquée par le journaliste.

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  • J'ai emprunté cet album à la médiathèque mais je ne sais pas si l'auteur l'a écrit pour les enfants ou si c'est une nouvelle qui se prêtait à l'adaptation en album.

    C'est l'histoire de Petite Croix, d'après les illustrations on se la représente comme une fillette indienne, et l'on devine rapidement qu'elle est aveugle. Tous les matins, elle grimpe au sommet de la colline et s'assoit par terre où elle sent s'écouler les heures au rythme d'événements familiers et de la course du soleil.

    Ce texte est extrêmement sensuel puisqu'il fait appel à toutes les sensations comme souvent dans l'écriture de Le Clezio. La fillette décrit la caresse du soleil sur sa peau, le vent sur son visage, les odeurs et les sons.

    Une belle lecture.

    Blogmarks




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