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Ce livre fait partie de la sélection pour le Prix Mangawa 2013.
Un architecte romain, à l'époque de l'empereur Hadrien, cherche à concevoir des thermes parfaits. On lui reproche trop de classicisme. Alors qu'il était dans un bassin à se détendre, Marcus, est happé par le fond de l'eau et émerge dans des bains publics japonais contemporains !!! C'est un véritable choc de cultures pour le romain qui croit se trouver dans les thermes des esclaves « à face plate ». Lorsqu'il se réveille à nouveau, à moitié noyé, à son époque, il s'inspire de ce qu'il a observé « de l'autre côté » pour apporter de brillantes innovations aux thermes qu'il construit.
Dans ce volume, Marcus va faire trois expériences de voyage dans le temps et l'espace qui vont lui permettre de découvrir les bains extérieurs et la baignoire...
J'ai beaucoup aimé cette utilisation du voyage dans le temps que j'avais adorée dans la série Jin.
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Ce sont des images d'archive (mai 2011) que je n'avais pas encore publiées...
Mousse est tranquillement installée dans son petit panier en tissu.
Sur le rebord d'une fenêtre.
Elle peut y faire sa toilette...
Et puis elle a une vue directe sur un arbre où passent des oiseaux !
Il lui arrive de rester accrochée...
Et d'appeler à l'aide ! Mais elle sait s'en sortir toute seule en cas de besoin (et je retrouve les rideaux en piteux état le soir !).
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"Le "chez-soi" d'un individu, c'est l'endroit ou les conditions dans lesquels il se sent bien, en sécurité. cela peut-être un lieu, mais aussi une communauté humaine plus ou moins large, qui vous aide, vous soutient."
(Toni Morrison dans une interview publiée dans le Télérama n°3267)
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J'avais déjà lu plusieurs romans de cet auteur, sur des sujets de société (Circé, Les mille ruses du renard volant, Les cinq bonheurs de la chauve-souris) mais aussi Les sorcières de Skelleftestadt.
Ce récit rentre dans la première catégorie avec un fond historique (la guerre d'Algérie).
La façon d'aborder ce thème est curieuse mais à la fois intelligente et poétique (ce qui peut sembler étrange) mais c'était déjà le cas avec Les cinq bonheurs de la chauve-souris.
Il y a deux histoires parallèles avec des personnages qui n'ont a priori rien à voir et l'histoire des deux « adultes » qui ont vécu la guerre d'Algérie est amenée par la proximité de la fillette mystique qui progresse dans la montagne où ils vivent depuis leur retour en France.
Nous avons donc d'une part Rachel, fillette d'une douzaine d'années qui depuis ses 8 ans est touchée par des visions qu'elle appelle « Magies » et relie à un Dieu dans la croyance duquel pourtant elle n'a pas été élevée. C'est une enfant curieuse, très réfléchie, spirituelle, endurante et j'ai vraiment attendu la fin pour comprendre et trouver une explication à ce qui lui arrive.
D'autre part, Abdelhamid est un vieil Algérien, un ancien harki qui a perdu toute sa famille massacrée pendant la guerre d'Algérie et qui a été ramené en France par son ancien lieutenant et désormais ami qui ne voulait pas le laisser là-bas à une mort certaine. C'est Abdelhamid qui dans ses jumelles, dont il ne se sépare pas, découvre la petite randonneuse, seule, sur les sentiers. Il la suit et la protège de loin sans trop savoir pourquoi et au fil de ses pensées (et de celles du lieutenant qui vit dans le même chalet) nous découvrons son histoire...
Les personnages sont très forts et l'évocation de leur caractère qu'il s'agisse des deux hommes âgés ou de la fillette est puissante.
En tout cas c'est une lecture qui ne peut laisser indifférent.
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Chaque année j'essaye de broder quelques modèles que je trouve chouettes sur ce thème.
Cette fois-ci une petite pendouille.
Brodée en orange sur fond noir.
Un chat fantôme blanc avec une araignée au bout de la queue.
Monté en petite pendouille également.
Et des marque-pages en feutrine !!!
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Enthousiasmée par la fin du premier volume et entraînée par le rythme de cette bande dessinée, je me suis donc plongée dans le tome 2.
On y retrouve le jeune Arthur Vlaminck qui commence à comprendre comment fonctionne l'équipe de cabinet du ministre Alexandre Taillard de Worms. Tout le monde débarque à New York pour une importante conférence...
Dans ce livre vont être un peu plus développés les thèmes suivants : la difficulté de mener une vie personnelle dans ces conditions, les coups en douce des diplomates qui cherchent à prendre le dessus les uns sur les autres. J'y ai retrouvé avec plaisir le personnage de Claude Maupas au rôle primordial... et découvert son chat ! Il y a aussi l'amitié qui se noue entre Arthur et son collègue Sylvain avec lequel il partage des goûts musicaux « seek and destroy ».
Une très bonne suite qui nous mène jusqu'à un discours décisif.
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J'en avais confectionné un pour Flo l'an passé...
ça m'avait beaucoup plu et j'ai décidé de recommencer cet été.
J'ai donc cousu et crocheté plusieurs modèles de couleurs différentes.
Un violet adopté par ma filleule.
Un beige bordé de bordeau qui est parti rejoindre Véro bis.
Et un vert pour mon amie Isa.
A chaque fois les deux faces sont différentes.
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« On ne peut pas toujours être au premier rang de la vie des autres, vois-tu. On a sa propre vie à mener et ce n'est pas facile d'être soi. » (p.60-61)
(Je ne suis pas Eugénie Grandet de Shaïne Cassim)
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