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Vous allez me dire qu'il était peut-être temps !!!
Je n'ai pas refait d'ATC depuis à vrai dire... concentrée sur les décorations et cadeaux de Noël !
Deux cartes sur la lecture.
Une série avec des animaux.
Deux escargots dont un est parti chez Douce Eilof et l'autre chez Capucine.
Et deux cartes utilisant du carton imitation jute dont j'aimais l'effet.
Lesquelles préférez-vous ?
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J'ai lu ce roman dans le cadre de l'opération Masses Critiques de Babelio qui me l'a proposé.
L'auteur dont c'est le premier roman est scénariste et dialoguiste de films et notamment le « Marius et Jeannette » que j'avais beaucoup aimé.
Mais je dois reconnaître que je n'ai pas été emballée par ce livre.
Le sous-titre « Neige au sommet, verdeur dans la vallée » évoque le contraste entre les cheveux blancs du narrateur et son désir toujours vivace.
Tout commence lorsque Marianne, la femme de Gilles, le narrateur, lui propose de faire chambre à part maintenant qu'ils ont un certain âge (la cinquantaine?). Gilles a du mal à comprendre et admettre ce qui arrive alors que lui éprouve encore du désir pour sa femme. A partir de là, il erre en ville, se livrant à quelques fantaisies qui le font remarquer, puis se laisse entraîner par son père, ancien combattant, au Havre à la recherche d'un ami-ennemi de la guerre qu'il a promis de « refoutre à l'eau ». Gilles n'imaginait pas que ce personnage puisse avoir une fille aussi jolie...
Bon ce n'est pas facile à plus résumer car les différents thèmes s'imbriquent et s'embrouillent au fil des pages ? Il y a d'une part la relation entre Gilles et Marianne qui est dans une impasse, la relation entre Gilles et son père qui l'humilie régulièrement et décide à sa place, la relation de Gilles au monde qui l'entoure et notamment aux femmes qu'il cherche à séduire pour se prouver qu'il existe encore en tant qu'homme...
Les personnages sont humains et ça aurait dû m'intéresser mais je crois que l'écriture assez familière quoique imagée et un humour qui se sert pas l'aspect historique de l'intrigue (autour des deux anciens combattants) m'ont agacée. Quelques coquilles/fautes d'accord m'ont également sauté aux yeux à deux ou trois reprises (ça nuit toujours à la qualité du texte).
J'ai aimé certains des personnages comme celui de Sandra ou Virginie, certaines scènes bien trouvées (l'anniversaire de la vieille dame) mais je ne garde qu'une impression « d'éparpillé » de ce récit qui aurait pu être une bonne idée.
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« Comme un arbre
Je suis né dans le béton
Coincé entre deux maisons
Sans abri sans domicile
Comme un arbre dans la ville
Comme un arbre dans la ville
J'ai grandi loin des futaies
Où mes frères des forêts
Ont fondé une famille
Comme un arbre dans la ville
Entre béton et bitume
Pour pousser je me débats
Mais mes branches volent bas
Si près des autos qui fument
Entre béton et bitume
Comme un arbre dans la ville
J'ai la fumée des usines
Pour prison, et mes racines
On les recouvre de grilles
Comme un arbre dans la ville
Comme un arbre dans la ville
J'ai des chansons sur mes feuilles
Qui s'envoleront sous l'il
De vos fenêtres serviles
Comme un arbre dans la ville
Entre béton et bitume
On m'arrachera des rues
Pour bâtir où j'ai vécu
Des parkings d'honneur posthume
Entre béton et bitume
Comme un arbre dans la ville
Ami, fais après ma mort
Barricades de mon corps
Et du feu de mes brindilles
Comme un arbre dans la ville »
Maxime Le Forestier (1972)
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Ce second volume débute par le bref retour à la ville de Miyori pour l'enterrement d'une de ses camarades de classe qui s'est suicidée.
De retour au village, le comportement de Miyori est étrange, dicté sans doute par sa jalousie envers Kaeda, la demi-soeur du jeune étudiant en agronomie dont elle est tombée amoureuse. Ces émotions contribuent à brouiller les voix des esprits de la forêt qu'elle délaisse. Il va falloir du temps et la rencontre avec la fameuse Kaeda dans laquelle elle reconnaît une « jumelle » pour que Miyori accepte et elle va en ressortir plus forte avec une nouvelle alliée. Elles réussissent notamment à faire fuir les promoteurs qui voulaient construire un barrage et noyer la forêt.
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Je vous souhaite un agréable dimanche et vous laisse avec l'énigme en image :
A quoi cela vous fait-il penser ?
Vous pouvez aussi aller jouer chez Madame Plouf.
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Seulement deux cette année (en plus du porte-clef)...
Une toile d'araignée habitée (du site Cyberstitcher) et un chat noir extrait du livre Country au point de croix.
J'ai monté les deux avec des bouts de bracelets brésiliens façon gri-gri et des perles qui font du bruit quand ça bouge ! En plus ils sont garnis de lavande ce qui fait que, une fois la saison passée, on peut les ranger dans l'armoire parmi le linge.