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Il ne s'agissait pas d'une apparition extraterrestre...
...mais du reflet d'un objet rond et brillant sur les dalles du plafond de ma lingerie !!!
Vous êtes nombreux à avoir pensé à un reflet mais Clo de Tahiti est la première à avoir pensé au plafond et MF aux dalles structurées (ou faux plafond) réponse complétée par le commentaire de Madame Plouf. J'ai été impressionnée par la précision de vos réponses !
Cette spirale de lumière m'a complètement séduite. C'est une forme que j'affectionne (j'en parlais à propos du manga du même nom) et ici on dirait vraiment une coquille d'escargot (enfin je trouve).
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Je continue de déballer mes cadeaux en votre compagnie( mais rassurez-vous on en voit le bout !)...
Avec aujourd'hui l'envoi de Véronique D. qui pratique avec talent de multiples techniques (broderie, cartonnage, dentelle, frivolité, couture, carterie...) et activités (lecture, jardinage...).
Je vous laisse admirer de plus près la finesse de ce marque-page en frivolité et sa pochette brodée d'un brin de muguet (grille de Véro21).
Ils éaient accompagnés d'autres marque-pages pour ma collection (dont un fait maison).
Merci pour ces merveilles !!!
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Je me suis fait offrir ce livre dont j'avais lu d'excellentes critiques et je ne le regrette pas.
Même si j'ai été un peu déroutée par la forme du récit au départ, j'ai plongé dans cette histoire émouvante qui se passe dans l'Allemagne nazie.
La narratrice est La Mort (mais pas la même que chez Pratchett) qui est présentée comme un personnage qui fait son travail du mieux qu'elle peut en prenant soin des âmes qu'elle emporte.
Elle va donc intervenir tout au long du roman et souvent annoncer les événements (la figure de style doit s'appeler analepse ou prolepse quelque chose comme ça il me semble) ce qu'elle dit :
« Je vous ai annoncé deux événements, parce que mon but n'est pas de créer un suspense. Le mystère m'ennuie. Il m'assomme. Je sais ce qui se passe, et du coup vous aussi. Non, ce qui m'agace, me trouble, m'intéresse et me stupéfie, ce sont les intrigues qui nous y conduisent. » (p.241)
Au début du roman, Liesel, une petite fille qui vient de perdre son jeune frère, est placée dans une famille d'accueil chez Hans et Rosa Hubermann. Sa mère nourricière est un peu spéciale, qui jure comme un charretier mais au fond elle a bon coeur et Liesel se prend surtout d'affection pour Hans, peintre en bâtiment un peu désoeuvré en temps de crise, qui lui joue de l'accordéon, la console quand elle se réveille au milieu de la nuit après un cauchemar... et surtout va lui apprendre à lire et écrire. Il y a aussi son voisin, Rudy, avec qui elle joue au foot, chahute... et vole.
Liesel éprouve un attrait irraisonné pour les livres avant même d'être capable de pouvoir les déchiffrer. Le roman est jalonné des livres qu'elle va dérober, pour une bonne part dans la bibliothèque de la femme du maire qui n'est pas dupe.
Et puis il y a Max, le juif que les Hubermann vont cacher dans leur cave...
J'ai aimé cette galerie de personnages très humains, les relations qui se tissent entre eux. Il y aurait tellement à dire mais je crois que le plus simple est de lire ce livre qui réussit à parler de l'horreur sans la minimiser et pourtant sans la mettre sur le devant de la scène.
« Une fois encore, je vous donne un aperçu de la fin. C'est peut-être pour amortir le choc, ou bien pour mieux me préparer, moi à en faire le récit. » (p.479)
Je suppose que c'est cela, pas vraiment une mise à distance mais cela permet de mettre en lumière les gestes des personnages sans les écraser par l'Histoire.
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Pour l'anniversaire de mon amie Marie-Françoise au début du mois, j'ai brodé un motif trouvé sur le blog de Cayena :
C'est une grille dessinée par sa fille par solidarité avec Haïti que j'ai ainsi utilisée.
J'en ai fait une carte sur fond rose. J'adore ce motif !
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Je continue de déballer mes cadeaux d'anniversaire en votre compagnie...
Aujourd'hui, c'est Sabine que je mets à l'honneur avec cet envoi.
Un carnet comme je les aime, comme un beau livre blanc, dont la couveture s'orne d'un superbe dragon de bronze.
Accompagné d'une magnifique carte dans son enveloppe dorée.
Des marque-pages : on reconnaît le grand format des Thalia et d'autres dans le genre fantastique, fantasy.
Et encore une série...
Et des cartes com' : à droite c'est un accordéon d'affiches de films.
Merci Sabine pour toutes ces attentions qui me vont droit au coeur !
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"Le Chat
I
Dans ma cervelle se promène
Ainsi qu'en son appartement,
Un beau chat, fort, doux et charmant.
Quand il miaule, on l'entend à peine,
Tant son timbre est tendre et discret ;
Mais que sa voix s'apaise ou gronde,
Elle est toujours riche et profonde.
C'est là son charme et son secret.
Cette voix, qui perle et qui filtre
Dans mon fonds le plus ténébreux,
Me remplit comme un vers nombreux
Et me réjouit comme un philtre.
Elle endort les plus cruels maux
Et contient toutes les extases ;
Pour dire les plus longues phrases,
Elle n'a pas besoin de mots.
Non, il n'est pas d'archet qui morde
Sur mon coeur, parfait instrument,
Et fasse plus royalement
Chanter sa plus vibrante corde,
Que ta voix, chat mystérieux,
Chat séraphique, chat étrange,
En qui tout est, comme en un ange,
Aussi subtil qu'harmonieux !"
Charles Baudelaire
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Je continue de déballer mes cadeaux d'anniversaire avec vous...
Un envoi de Jo du Québec qui sent bon la lavande, du coton à broder Anchor et un coupon de tissu vichy qui me donne envie de refaire de la Broderie Suisse.
J'en profite aussi pour vous montrer mes derniers achats sur le site des Brodeuses Généreuses : des canevas sur les légumes que je trouve sympas, de petits cadres tambour, une grille coeur en blackwork, une grille avec un chien très rigolote, un galon vert...
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Le tueur est rattrapé dans sa retraite du Vénézuela par des trafiquants de drogue qui estiment avoir soufferts d'un de ses « contrats » et lui proposent d'effectuer deux ou trois missions (rémunérées) pour effacer cette dette.
J'ai moins aimé ce volume que le précédent. L'intrigue m'intéressait moins, juste une suite de personnes à tuer, pas de réelle intrigue.
J'ai emprunté les deux suivants à la médiathèque, je verrai bien où ça nous mène.