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Vous n'avez pas manqué d'imagination mais vous avez aussi été nombreuses à trouver la bonne réponse cette semaine. Bravo à Xiao Tu qui l'a annoncée dès le premier commentaire !
Il s'agissait en fait d'un pèse-lettre...
Petit instrument très pratique qui permet, en pinçant le coin de l'enveloppe et en la tenant suspendue, de savoir son poids qu'indique alors le petite aiguille métallique.
Je l'utilisais beaucoup mais depuis que je fais des envois "de brodeuse" dans des enveloppes un peu plus volumineuses, je préfère utiliser ma balance à poids !!!
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J'avais envie de m'essayer à ça avec ma machine à coudre :
Je suis partie de modèles aperçus de ci de là mais sans réel patron.
J'ai utilisé un tissu musical et un galon avec des coeurs et juste cousu des yeux en boutons en plus.
Mais il me semblait qu'il manquait quelque chose alors j'ai ajouté un petit museau en feutrine rouge. Qu'en pensez-vous ? Est-il assez félin ?
Je profite de cet article pour vous montrer les beaux coupons de tissus que m'a envoyés mon amie australienne... J'adore !!! C'est elle aussi qui a peint le tableau que vous voyez à gauche.
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Je ne me rappelle plus où j'ai entendu parler de ce livre et ce qui m'a donné envie de le lire...
Il ne s'agit pas d'un roman mais d'un témoignage. Celui d'un journaliste, homme public, touche-à-tout, qui, à la veille de sa consécration (il va être nommé à la tête de RTL dont il était déjà directeur des programmes), tombe dans une grave dépression nerveuse.
Le récit reprend, étape par étape, la lente dégradation puis la descente aux Enfers avant d'entamer la guérison. Par des exemples très concrets et des anecdotes choisies, l'auteur cherche à nous faire toucher du doigt à quel point la maladie vous diminue, s'attaquant à votre intelligence et votre dignité.
C'est en même temps le portrait d'un homme sur une courte période de sa vie (un peu plus d'un an) et un hommage à l'amour de sa femme et de ses enfants qui l'ont soutenu dans cette épreuve.
Ce n'est « qu' un » témoignage mais je crois qu'il a atteint son but et en refermant le livre on n'espère plus qu'une chose : « que ça ne m'arrive pas à moi un jour ! ».
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"L'identité, ce ne sont pas les racines qui l'expriment. car l'identité, c'est un fruit. Et les humains ne sont pas des arbres : ils savent renaître après les déracinements."
(Daniel Maximin, extrait de l'ouvrage collectif Lettres à un jeune Marocain, cité dans le courrier des lecteurs de Télérama)
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Je ne brode que de petits ouvrages en ce moment (à vrai dire, je n'ai jamais rien brodé de gigantesque !).
J'ai choisi ce petit motif offert par Alexandrina pour tester un fil de Sylvietamine.
Et j'ai monté le tout en pendouille doublée de feutrine que j'ai offerte à mon amie Marie-Françoise la dernière fois que je suis allée prendre le thé chez elle. La photo ne rend pas bien les couleurs qui sont, il faut le dire, discrètement ton sur ton.
Un petit aperçu de mon avancée sur le puzzle pour clore cet article. L'elfe est terminé et un museau de dragon se profile...
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J'ai la chance de recevoir chaque semaine ou presque un beau marque-page dans son enveloppe allongée de la part de Caro dont les ressources semblent inépuisables :
Une tablette de chocolat pour assortir avec la planche de timbres parfumés qui lui ressemblait.
Un vilain petit canard ? Mais lequel ?
Un réveil matin campagnard qui inaugure peut-être une nouvelle série sur la basse-cour...
Quel bonheur que ces attentions !! Je vais reprendre le slogan de la tablette de chocolat "C'est bon pour le moral !". Merci Caro !!!
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« Le carnet à spirale
J'ai encore perdu ton amour tu saisJ'peux pas m'souvenir de ce que j'en ai fait
Je l'ai pourtant rangé comme il fallait
C'est pas croyable comme tout disparaît
Mais j'ai trouvé dans mon carnet à spirale
Tout mon bonheur en lettres capitales
A l'encre bleue aux vertus sympathiques
Sous des collages à la gomme arabique
J'ai un à un fouillé tous nos secrets
J'n'ai rien trouvé dans le peu qu'il restait
Sous quelques brouilles au fond sans intérêt
Des boules de gomme et des matins pas frais
Mais j'ai gardé dans mon carnet à spirale
Tout mon bonheur en lettres capitales
A l'encre bleue aux vertus sympathiques
Sous des collages à la gomme arabique
J'ai encore perdu ton amour c'est vrai
Mais après tout personne n'est parfait
Si tu n'en as plus d'autres, c'est bien fait
Tant pis pour moi, j'étais un peu distrait
Je garderai dans mon carnet à spirale
Tout mon bonheur en lettres capitales
A l'encre bleue aux vertus sympathiques
Sous des collages à la gomme arabique »
William Sheller
P.S. : Merci Hélène de m'avoir donné envie de rechercher les paroles !
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Je brode au ralenti en ce moment mais je voulais tout de même participer au projet "Des coeurs pour Haïti"...
J'ai choisi un modèle offert par The Gift of Stitching que j'ai brodé avec les mêmes fournitures que la petite poupée russe.
Je l'ai monté en pendouille doublée de feutrine.
Une autre vue ; j'ai des problèmes de lumière pour photographier mes broderies ces temps-ci.
N'hésitez pas à aller voir les créations en vente chez Cayena.