J'ai feuilleté le petit livre Mango Pratique sur les coeurs à la recherche d'un modèle à ma convenance...

J'ai opté pour ce coeur étoilé de points d'oeillets entre autres que j'ai brodé avec un fil de Sylvietamine sur de l'aïda noire.

Je l'ai doublé de feutrine rose et rembourré pour en faire une pendouille.
C'est ma troisième réalisation pour le projet de vente d'objets au profit de l'aide à Haïti organisé par Hélène et Cayena et infatigablement relayé par Clarelis.

"Celui qui dit avoir beaucoup d'amis déclare qu'il n'en a pas." (p.24)

(Les Montagnes Blanches, John Christopher)

Nouvel épisode de notre petit jeu photographique !

Il y a toujours de la neige sur le toit et les branches...

Mais cette fois-ci j'ai repéré un oiseau qui profitait d'un rayon de soleil.

Dommage que l'appareil fasse le point sur les branches plutôt que sur l'oiseau mais je n'ai pas cherché comment faire les réglages plus précisément.

Vous pouvez aller retrouver d'autres collections d'images chez Clarelis qui est à l'origine de ce projet.

Je trouve souvent de jolies grilles dont les messages en anglais me plaisent beaucoup mais... ça me fait bizarre de les broder pour une amie francophone.

J'ai donc profité de l'anniversaire de mon amie Jasenka qui vit en Australie pour broder ce petit motif et son message sur une carte.

"Si je devais recommencer ma vie, je n'y voudrais rien changer ; seulement j'ouvrirais un peu plus grand les yeux."

(Jules Renard)

J'avais beaucoup entendu parler de ce livre sans trop oser l'ouvrir...

J'ai découvert un roman très bien construit, mêlant deux sujets sensibles de manière forte.

Emma était une adolescente heureuse jusqu'à ce qu'elle décide d'entamer un régime draconien qui la pousse à l'anorexie. Mais la maladie coïncide bizarrement avec la découverte d'un secret lié au passé de sa grand-mère pendant la seconde guerre mondiale...

Le secret et le mensonge, la confiance trahie, la découverte de l'horreur par le biais du journal intime d'un responsable de camp nazi, autant de thèmes qui s'entrecroisent habilement dans ce récit à la fin implacable.

Une lecture qui bien entendu est entrée en résonance avec « Maus » lu quelques jours auparavant.

Une histoire singulière à lire à partir de 14 ans.

P.S. : Du même auteur vous pouvez aussi lire un excellent roman d'anticipation intitulé "Felicidad".

Vous avez pensé à de la pâtisserie, à de la vache, de la tortue mais...
Il s'agissait bien de d'un motif de girafe ! Bravo à Lise qui l'a soupçonné dès le premier commentaire et à Tatacaramelaubeurre championne toutes catégories de l'oeil-de-lynx olympique!!!

Sur un pot à crayons en bois en forme de girafe (au ventre carré malgré tout).
Je ne vous avais pas présenté ce pot lors de l'article consacré à cette "collection", c'est réparé !

"Il y avait des fois où l'on savait qu'il fallait dire quelque chose et, si on ne le faisait pas, on le regretterait toute sa vie." (p.250)

(Mma Ramotswe détective d'Alexander McCall Smith)

Voici les chouettes cartes que Capucine m'a envoyées début février :

Accompagnées d'un petit message parapluie !
Et celles que Véro bis m'a fait parvenir à son tour :

Ainsi que des marque-pages.

Merci à toutes les deux !!!

P.S.: Si vous aimez les détails architecturaux insolites ou remarquables, ne manquez pas d'aller visiter le nouveau blog de Capucine consacré aux secrets de la capitale.

Eh oui c'est l'avant-avant-dernière !!!
J'ai terminé toutes les arabesques...
Il ne me reste plus que deux étapes pour terminer cet arbre aux coeurs : la base du tronc (du remplissage : beurk !!!) et le banc avec les chats à gauche.