“Je veux qu’on soit sincère, et qu’en homme d’honneur

On ne lâche aucun mot qui ne parte du coeur.” (v35)

(Le Misanthrope, Molière)

Avec cette horloge... pour ne jamais laisser passer l'heure des croquettes sans doute !

N'est-ce pas Mousse ?

P.S. : Il s'agit bien sûr d'un objet extrait du colis magique d'Aude !!!

Je poursuis le remplissage de mes boîtes à biscuits de Noël...
Voici donc une fournée de bâtonnets dont la recette est prévue pour des noisettes mais que j'ai modifiée pour utiliser les noix dont je dispose en quantité.

Je n'étais pas trop contente de ma production car je n'ai pas haché les noix assez finement et je n'ai donc pas pu utiliser ma roulette crantée pour découper les bords des biscuits. Si j'ai le temps j'en referai en respectant les ingrédients originaux...
Pour la finition, on badigeonne avec du jaune d'oeuf délayé dans un peu de lait ; il me restait donc des blancs et quand c'est le cas, j'en profite toujours pour cuire une fournée de Rochers à la Noix de coco. Nino a proposé il y a quelques jours une recette similaire...

J'avais été attirée à la médiathèque par la couverture de cet album...
Tout le livre écrit par Claude Guillot est superbement illustré par Fabienne Burckel. 

Il s'agit d'un conte moderne où une fillette, Li, pour aider sa maman, va livrer une robe en ville à bicyclette... mais elle se fait renverser par une automobile. C'est alors qu'elle rencontre le fantôme de Maître Tchen qui erre à cet endroit où il est mort et cherche le repos. Si Li accepte d'écrire une lettre à son fils, il promet de l'aider à retrouver le chemin vers le royaume des vivants.
J'ai beaucoup aimé cette histoire qui nous fait baigner dans la culture chinoise et nous évader grâce aux images très évocatrices.
Je suis sûre que cet album plairait à Chrisalain...

Vous la voyez chaque fois que vous passez sur mon blog mais je n'en ai jamais vraiment parlé...
Une des premières broderies lorsque j'ai repris l'aiguille il y a deux ans est présentée par Crinoline, ma mascotte, en en-tête du blog :

Il s'agit d'un modèle de Lizzie Kate bien connu des brodeuses et dont le message célèbre l'amitié. Je l'ai offert à mon amie Jasenka qui vit... en Australie !!! 
Comme quoi l'amitié n'a pas de frontières...

“Je crois en la sympathie humaine.

-- Qu’entendez-vous par là?

-- Si chacun depuis sa tendre enfance apprenait à faire attention à son voisin, le monde serait, j’en suis sûre, différent.” (p21)

(Scènes de la vie conjugale, Ingmar Bergman)

Eh bien il sera prêt pour Noël et je vais pouvoir l'offrir à ma tante pour décorer son chalet...

Cette grille d'Isabelle Vauthier parue dans la revue Mains & Merveilles a été un vrai régal à broder et le résultat me donne envie d'essayer d'autres modèles que j'ai repérés dans mes nombreuses revues (ma collection n'est sans doute pas aussi importante que celle d'Evelyne ou d'Anne-Marie mais je commence à en avoir une bonne pile !).
Avez-vous des préférences parmi les créations de la "Kratrisse" ?

Sur mon chemin des mots
   
"Les mots, pardon si j'en mets trop
Et si c'est un fardeau,
Pour vos oreilles.
Les mots, chacun son p'tit pipeau,
Chacun son p'tit grelot
Qui me réveille.
Il faut bien détecter les faux,
Les juger par défaut,
Par défaillance.
Credo, promesses de cadeaux,
Sauvetage ou radeau
De l'espérance.

{Refrain:}
Sur mon chemin de mots,
Sur mon chemin de mots,
J'en ai vu de si beaux,
Que j'en délire.
Sur mon chemin de mots,
J'en ai vu de si beaux
Que je ne saurais dire.

Les mots sont comme des oiseaux
Venus dans mes rameaux,
Dans mes bocages.
Les mots ont planté des drapeaux
Sur tous mes chapiteaux,
Toutes mes cages.
Tantôt je suis comme un chameau
Je les mets sur mon dos,
J'en suis avare.
Tantôt je coule comme l'eau,
Je vis de mon tonneau,
Je m'en sépare.

{au Refrain}

Les mots sont aussi des bourreaux
Qui sentent le fagot,
Parfois le soufre.
Les mots me ramènent à zéro
Quand j'use mon stylo
Et que j'en souffre.
Héros quand il faudrait plutôt
Déposer les couteaux,
Devenir tendre.
Pâlots quand il faut illico
Brandir un calicot
Sans plus attendre.

{au Refrain}

Les mots sont parfois des bateaux
Qui s'en vont à vau-l'eau,
Sans équipage.
Les mots s'abîment dans les flots
D'un langage crado,
Sans une image.
Mégots qu'on jette au caniveau,
Qui se perdent sitôt
Qu'on les oublie.
Ilôts d'un monde qui, bientôt,
Tirera le rideau
Sur notre vie.

{au Refrain}

Sur mon chemin de mots,
Sur mon chemin de mots,
J'en ai vu de si beaux,
Que j'en délire.
Sur mon chemin de mots,
Vous êtes les plus beaux
Mais j'ai dû vous le dire."

Anne Sylvestre   1994

Pour retrouver les paroles d'autres chansons d'Anne Sylvestre

Je ne suis pas vraiment sûre que cela soit de la céramique ; c'est peut-être de la porcelaine... en tout cas c'est fragile !

Voici trois petits chats qui proviennent toujours du gros colis envoyé par Aude ; "mais c'est un sac sans fond !" allez-vous me dire... cette collection de chats est inépuisable !

Voici une petite devinette en images à la manière de celles que nous propose Laurence sur son blog :

Que vous inspirent ces "choses", "trucs" ou "machins-bidules" ?!!!
Moi j'y vois toujours de petites têtes de singes... mais c'est lié au syndrome dont je vous parlais ici.